l’auteur de chansons célèbres de l’entre deux guerres (Le petit vin blanc, Le p’tit bal du samedi soir…), Jean Dréjac, a conçu son pseudo à partir de ses prénoms : gardant « Jean » comme prénom, il a utilisé ses deux deuxième et troisième prénoms, André et Jacques, pour faire « Dréjac » (V. son fils, Frédéric Brun, Le roman de Jean, Stock 2008, p. 24).