Michel Onfray

Dans un livre d’entretiens avec Jean-Yves Clément, sorti jadis et intitulé « La raison des sortilèges : entretiens sur la musique » (éd. Autrement, 2013, 186 p.), le philosophe Michel Onfray avoue : « La musique a toujours tenu et tient un rôle majeur dans mon existence (p. 18). Déclarant une prédilection particulière pour Berlioz, le dionysiaque et sa débauche de son, comparée à l’appolinien Debussy, il se résout à dire que « la musique n’exprime rien » (p. 75), même si « elle est » (p. 80). Et avoue aussi beaucoup d’admiration pour  Nietzsche, ce « musicien contrarié » (p. 106).

 

Publié le : 
30 Novembre 2020
Auteur de l'article : 
jérôme Huet
Source(s) : 
Wikipedia